Le Domaine Perraton
Situé sur la commune de Chaintré, aux confins sud de la Bourgogne, Christophe PERRATON vinifie et élève de grands vins blancs du vignoble Mâconnais.
C'est dans une bâtisse aux magnifiques caves de 1849 que sont vinifiés et élevés tous les vins du domaine. Suite à l'agrandissement du vignoble, un nouveau chai voit le jour en 2014 avec une cave à fûts et une cuverie grande capacité pour permettre les assemblages des différentes cuvées produites par le domaine !
L'Exploitation s'étend aujourd'hui sur 12 ha et différentes appellation en ressortent : le Pouilly-Fuissé, Pouilly- Vinzelles, Viré-Cléssé, Mâcon-Chaintré, Mâcon-Loché, Mâcon-Vinzelles et le Crémant de Bourgogne. Toutes les parcelles sont conduites en viticulture raisonnée, proche de l'agrobiologie, avec enherbement et labour des sols argilo-calcaire qui offrent au chardonnay, unique cépage des plus grands vins blanc de Bourgogne, l'opportunité d'exprimer l'essence même de sa finesse !
Une histoire de famille
Issue d'une famille rurale travaillant la polyculture, c'est en 1970 que René, notre père créa son domaine viticole. Il acheta des vignes ayant appartenus à son grand père Charles PERRATON, pionnier des Appellations d'origine et co-fondateur de l'AOP Pouilly-Fuissé.
Après de longues années d'adhésion à la cave coopérative du village, c'est en 1986 qu'il décide de s'en retirer et de se lancer dans la commercialisation de ses vins.
Après des études de viticulture et oenologie c'est en 1995 que Christophe arrive sur l'exploitation, puis rejoint par Franck en 1998 afin de contribuer au développement du domaine.
Ainsi en 2004, suite au départ en retraite des parents, nous décidons de créer un GAEC (groupement agricole d’exploitation en commun) afin de continuer à travailler en famille et ainsi dynamiser les ventes. Delphine l'épouse de Christophe, les rejoints dès la première année pour se consacrer à toute la partie administrative.
Aujourd’hui le Domaine PERRATON produit environ 70 000 bouteilles par an, qui sont vendus à 70% en France et les 30% restant, à l’export.